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Chez Nyméria
ebook
30 mars 2016

De "La Chute du Gouverneur" à "L'Ère du Prédicateur" [The Walking Dead, Tomes 3, 4 et 5]

Je suis une fan de The Walking Dead... Quand je dis fan, c'est que j'ai tous les Comics en version papier, mais j'ai aussi toutes les saisons en coffrets dvd...  Bref, je suis une inconditionnelle des histoires zombiesques de Kirkman !

Du coup, évidemment, je n'ai pas pu passer à côté des bouquins écrits par  Jay Bonansinga avec l'aide du créateur de The Walking Dead. Je vous ai déjà donné mon avis sur "L'Ascension du Gouverneur" et sur "La Route de Woodbury" mais je n'ai pas encore pris le temps de vous dire ce que je pense de la suite, donc je vais y remédier dès maintenant mais assez rapidement !

"La Chute du Gouverneur" se décline en deux tomes : les 3 et 4 des romans en version poche.
"L'Ère du Prédicateur", le tome 5, est la suite directe du tome 4.... 

Dans ces trois romans, on retrouve le style pauvre, simpliste, de l'auteur... et on se retape encore et toujours les mêmes descriptions, les mêmes expressions, les mêmes termes... Bref, je ne sais pas si c'est le vocabulaire de Bonansinga qui est pauvre ou si c'est le traducteur qui est nullissime... mais c'en est lassant, limite énervant.

Bon, on ne passera pas sur le fait qu'au moins, c'est compréhensible par tous, c'est facile à lire, ça ne fait pas réfléchir... 

Côté lecture, je peux donc affirmer sans trop m'avancer qu'on peut lire ces trois romans (mais aussi les deux précédents et le suivant) quand on a envie de passer un petit moment tranquille, sans avoir à se creuser la tête. 

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Passons à l'histoire :

Pour ceux qui connaissent les comics, c'est assez simple à expliquer ! Les tomes 3 et 4 reprennent une histoire que l'on connait bien : la "guerre" entre Rick et le Gouverneur... Je ne vais pas trop spoiler, car il y en a qui n'ont ni lu les comics, ni vu la série (ce qui est, pour moi, totalement incompréhensible !! lol). Bref, cette "guerre", on ne la vit pas en étant du côté de Rick mais en étant dans le camp adverse et c'est ça qui est le plus intéressant. J'ai relativement apprécié, même si je savais déjà comment tout allait se finir avant même d'avoir attaqué le tome 3 !

En fait "La Chute du Gouverneur" nous permet de voir comment ce "chef" complètement taré réussit à manipuler les personnes faisant partie de sa communauté pour en faire ce qu'il veut... Mais, comme le titre l'annonce clairement, tout cela le mènera à sa perte.

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Dans "L'Ère du Prédicateur", l'intrigue est trèèèèès longue à se mettre en place mais un nouveau "méchant" apparait dans la communauté de Woodbury, enfin débarrasée de son cinglé de chef... Malheureusement,  il faudra lire le tome suivant pour connaître le fin mot de l'histoire car il n'y a pas de point final à cette nouvelle "affaire" à laquelle est confronté le personnage principal, qui n'est autre que Lilly Caul, dont je vous ai parlé dans mon post sur "La Route de Woodbury" !

Comme à son habitude, et qu'il soit sous forme de comics, dvd ou romans, The Walking Dead s'intéresse à la psychologie des survivants, à leur façon de gérer n'importe quelle situation, dans un monde ravagé par une "peste" indomptable... 
Et d'ailleurs, dans un monde pareil, que faut-il craindre le plus ? Les morts qui se relèvent pour faire de vous leur encas... ou les autres survivants ?

Ces romans sont loin d'être des chef-d'oeuvre littéraires mais, m'étant quelque peu "attachée" à certains personnages, je souhaite savoir ce qu'il va leur arriver par la suite ! Je vais donc continuer ma lecture et me prendre le tome 6, "Invasion", qui vient de sortir. 
Mais, honnêtement, je trouve que le prix (7,99€ en format Kindle) est un peu élevé pour un style si médiocre... On sent le produit marketing de loin ! Dommage ! Car si ce n'était pas bâclé, ça serait génial !

mes notes :

La chute du Gouverneur : 2,5/5

La chute du Gouverneur 2 : 3/5

L'ère du Prédicateur : 2/5

 

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21 janvier 2016

Un domaine qui donne froid dans le dos ["Hanté", de James Herbert]

Après avoir lu "La conspiration des fantômes", de James Herbert, et n'avoir que très peu apprécié certains passages de ce bouquin, je me suis plongée dans un autre livre du même auteur.
Dans "La conspiration des fantômes", David Ash, le principal protagoniste, pense régulièrement à une de ses anciennes "missions" en tant que chasseur de fantômes... Et, en fouinant sur le net, j'ai pu voir que les faits étaient relatés dans un précédent ouvrage de J. Herbert ! Aimant particulièrement la plume de ce-dernier, je me suis lancée et ai donc attaqué la lecture de "Hanté".

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Le livre était déjà paru en France sous le titre "Dis-moi qui tu hantes" et vous pourrez facilement trouver l'ancienne version, comme la plus récente, d'occasion et donc à tout petit prix, sur le net.

Personnellement, je l'ai eu en format Kindle pour rien, puisqu'on me l'a donné. Ce qui n'est donc pas cher ! :P

L'histoire :

Davis Ash, enquêteur du paranormal aimant un peu trop la bouteille (et la nicotine), se voit confier une mission par l'institut pour lequel il travaille. Il doit se rendre dans la demeure de la famille Mariell, qui semble être en proie à de nombreux phénomènes inexpliqués auxquels la famille s'est accoutumée mais pour lesquels ses membres (une vieille tante ainsi et que ses deux neveux et sa nièce) aimeraient une explication... à première vue !
Mais tout ne sera pas aussi simple pour Ash qui, malgré sa forte envie de ne pas croire à tout cela, sera bien obligé de se rendre à l'évidence : il se passe réellement quelque chose d'étrange à Edenbrook et ce n'est pas l'oeuvre d'un esprit fort sympathique...

Mon avis :

J'ai lu ce livre en trois jours, ce qui est un exploit pour moi ! Il m'était tellement difficile de me défaire de ma lecture que je m'endormais à chaque fois très tard, dès que mes yeux n'en pouvaient plus de lire, en fait ! ;D
Dans cet ouvrage, point de chose choquante comme dans "La conspiration des fantômes", pas de scènes de cul qui dure 20 pages, pas de longueurs soporifiques... Seulement un flashback (sur deux) qui ne m'a pas du tout intéressée, parce que j'étais à fond dans l'histoire et que ça m'ennuyait de devoir lire un truc qui ne soit pas en rapport direct avec ce qui se passait à Edenbrook ! :P 

Même si je connaissais la trame de l'histoire dès le début (mais pas en détails), j'ai été absorbée par ce bouquin et l'ai beaucoup aimé. Son style est simple, accrocheur, il est facile à lire, il n'est pas trop long (un peu moins de 250 pages, selon ma Kindle!) et traite d'un sujet plaisant, pour ceux qui apprécient le paranormal en général. Evidemment, c'est un peu "gros", mais c'est de la fiction et c'est un livre classé dans la catégorie "horreur" ! ;) 

C'est donc un roman que je vous recommande fortement, si vous souhaitez lire pour la première fois un livre de ce genre, car c'est une "entrée en matière" relativement sympathique ! Surtout qu'il ne fiche pas vraiment la trouille... il est surtout légèrement surprenant, de temps à autre, mais pas au point de vous donner des frissons ou de vous faire faire pipi dessus. Je regrette tout de même que les explications, à la fin de l'ouvrage, ne nous en disent pas un peu plus. J'ai trouvé que c'était un peu trop vite expédié.

Ah, et dernier point : si vous êtes, comme moi, fan de R.I.P. ou de T.A.P.S., ne soyez pas trop étonné : le matériel utilisé pas David Ash n'est pas des plus perfectionnés, il semblerait que ses enquêtes se déroulent dans les années 80...

Voilà ce que j'avais à dire sur "Hanté" !

Pour les trois bonnes soirées qu'il m'a fait passer, je lui mets donc une note de 4,5/5 ! 

 Extrait : 

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17 janvier 2016

Des petites vacances à Sleath, ça vous dit ?

Aujourd'hui, je vais très rapidement vous parler du dernier livre que j'ai lu : "La conspiration des fantômes", de James Herbert.
Je ne savais pas grand chose de cet auteur et j'ai pu voir, en fouinant rapidement sur le net, qu'il était spécialisé dans les écrits d'horreur et qu'il était hyper connu dans son domaine... A la fin de mon livre, il est même décrit comme le "best-seller britannique de la terreur" (à noter qu'il est décédé).

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L'histoire :

David Ash, un détective du paranormal, est envoyé dans le petit village de Sleath, où des phénomènes étranges se produisent... Malgré un passé perturbé, une sorte de détresse intérieure et une tendance à aller vers la bouteille (il est alcoolique), arrivera-t- à dénouer le vrai du faux et, surtout, à aider les habitants du patelin paumé ? 
Evidemment, je ne vous le dirai pas ! :P

Ce que j'en ai pensé :

Lorsque j'ai attaqué le bouquin d'un peu plus de 430 pages (selon ma kindle), je me suis dit qu'il était vraiment pas mal. J'ai aimé la manière dont l'auteur décrivait les scènes se déroulant, sa présentation des personnages et la façon dont il nous faisait entrer dans leur tête. Par contre, j'ai beaucoup moins aimé le fait qu'il y ait des longueurs, les passages de cul (il y en un en particulier qui est super long et que j'ai sauté -c'est le cas de le dire!- parce que bon... c'est vraiment pas le genre de choses que j'aime lire ! Et moi, c'était de l'horreur que je voulais ! :P) et les faits vraiment très dérangeants... Je ne vais pas trop "spoiler" mais il y a des propos tenus par un personnage, ayant subi des attouchements et des viols étant efant, qui m'ont réellement mis mal à l'aise et qui font que j'ai eu du mal durant ma lecture, au point d'en avoir presque la nausée...

Si je pouvais zapper facilement ces trois points, je mettrais un 5/5 à ce roman de James Herbert mais, malheureusement, je n'y arrive pas...

Si vous souhaitez lire un bouquin qui vous fiche un peu la trouille par moment et qui vous oblige à allumer toutes les lumières quand vous souhaitez atteindre vos petits coins en pleine nuit ; si les passages de cul ne vous déplaisent pas, et si vous n'êtes pas facilement choqué(e), je vous recommande très fortement "La conspiration des fantômes", que vous pourrez trouver d'occasion sur Amazon.fr pour un prix avoisinant les 5 €.

Moi qui ne suis pas très rapide quand il s'agit de lecture, je dois avouer que j'ai littéralement dévoré les pages de ce livre, car je voulais à tout prix savoir ce qui allait survenir dans le village de Sleath, et je voulais également rapidement en connaître la fin (qui m'a malheureusement un peu laissée sur ma faim!)...

C'est donc une note très moyenne que je donnerai à cet ouvrage, qui ne mérite, à mes yeux, pas beaucoup plus... malgré les quelques bonnes petites soirées passées à le découvrir.

2,5/5

Extrait :

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3 juin 2015

L'Ascension du Gouverneur [The Walking Dead, tome 1]

Il y a peu, je vous ai parlé du tome 2 de The Walking Dead : La route de Woodbury, que j'ai lu avant le tome 1, parce que... je suis étourdie ! :P

Ce tome 1, dont le titre est L'Ascension du Gouverneur, je l'ai lu en quatre soirées, parce que j'étais à fond dedans. Je ne lis quasiment que les soirs, au lit, mais si je l'avais lu en journée, je pense que je l'aurais dévoré en cinq ou six heures, tellement il était passionnant et prenant. Un peu plus que le second tome, qui m'avait déjà énormément emballé !

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* Le contexte *

Une Peste étrange vient de faire son apparition. Bizarrement, elle permet aux morts de se relever, mais aussi, et surtout, en fait des monstres bouffeurs de chair humaine. Et tout être humain vivant mordu meurt et se transforme en zombie... C'est dans un univers qui commence à être dévasté que nous suivons celui qui deviendra le Gouverneur, un mec implacable et complètement cinglé bien connu de tous les fans et lecteurs des comics The Walking Dead, mais aussi quelques membres de son entourage.

* Les personnages principaux *

Philip Blake est le dur à cuire de la bande que nous suivrons dans ce bouquin. Son but est de trouver un lieu sûr pour tenter de survivre à cette Peste, et surtout de sauver sa petite fille de 7 ans, Penny. C'est accompagné de ses deux amis d'enfance et de beuverie qu'il essaiera de mener à bien sa "mission". Ses deux potes, Nick et  Bobby sont des costauds sachant se battre, ce qui est un réel atout, dans ce nouveau monde. Évidemment, comme une poisse n'arrive jamais seule, en plus de devoir supporter cette "Peste", ils doivent aussi se coltiner le grand frère (par l'âge, mais pas par la taille, ni par la force physique ou mentale), de Philip : Brian, un trouillard à la santé fragile qui est loin d'être aussi doué que les trois autres hommes pour la bagarre !

Le temps passant, et les choses en entraînant d'autres plus ou moins "sympathoches", nous les voyons tous évoluer dans un monde de plus en plus envahi par les zombies... et où les vivants sont parfois encore plus dangereux que ces abominations.

* Mon avis *

Personnellement, ayant lu tous les Comics "The Walking Dead" sortis à ce jour en France, je ne pouvais pas passer à côté des romans (au nombre de 4) centrés sur Le Gouverneur, qui permettent d'en savoir plus sur la psychologie de ce personnage détestable.

Comment est-il devenu un sociopathe avide de pouvoir et de sang ? 
Pour le savoir, je suis désolée de vous l'apprendre, mais ce n'est pas dans ce premier tome que vous trouverez la réponse à cette question ! Par contre, vous saurez ce qu'il a vécu dès le début de la Peste, mais aussi comment et pourquoi il est devenu le "chef" de Woodbury, et je peux vous assurer que c'est tout aussi intéressant !

Si vous êtes fan, comme moi, vous ne pourrez qu'aimez ce roman, même si quelques petites longueurs gâchent un peu la lecture. Mais elles ne sont pas nombreuses, et le style est tellement fluide et prenant qu'il sera difficile d'en décrocher, à moins de tomber de sommeil (je parle en connaissance de cause!). La seconde chose qui pourrait vous déplaire, et même vous énerver, ce sont les fautes... qu'elles soient de frappe, d'inattention où même dues à une traduction merdique, elles pourraient réellement vous gonfler ! Moi, ça m'a fait râler plus d'une fois !! 

Sinon, si je dois faire abstraction de ces points négatifs, c'est un excellent roman.
De plus, il faut souligner le fait que l'auteur, Jay Bonansinga, écrit en partenariat avec le créateur de The Walking Dead, Robert Kirkman, et que toute l'histoire est donc bien ficelée, crédible (tant que faire ce peut) et fidèle aux Comics. Cette "patte" de Kirkman, les fans la reconnaîtront et ils ne seront donc pas déçus par la lecture de ce tome. 

Évidemment, je vous le conseille, surtout que la fin m'a scotchée ! Je ne m'attendais pas du tout à ce que j'ai lu ! 
Enfin, sachez que même si vous ne connaissez pas le Comics ou la série télé, vous pouvez vous lancer dans la lecture de ces romans. 
L'Ascension du Gouverneur et ses 352 pages ne vous laisseront pas indifférent, je peux vous l'assurer.

Attention toutefois : des scènes de violences ne sont pas pour les enfants, je déconseille donc ce livre aux moins de 15 ans.

Vous pouvez trouver le livre de poche au prix de 8,10 € sur Amazon. 
Personnellement, je me suis procurée le format Kindle, pour 7,99 € (l'économie est minime, mais la lecture sur liseuse est tellement plaisante...).

 Extrait :

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Ma Note : 4,5/5 (à cause des fautes!!!)

15 mai 2015

La Route de Woodbury [The Walking Dead, tome 2]

C'est en fouinant un jour à la Fnac que j'ai découvert les romans "The Walking Dead"... Il ne m'a pas fallu longtemps pour me les prendre en format Kindle sur Amazon.fr, car étant fan des Comics mais aussi de la série !

Comme je suis un peu étourdie, j'ai lu "La route de Woodbury" en premier... alors qu'il s'agit du second tome (le premier étant "L'ascension du Gouverneur"), mais cela n'empêche aucunement la compréhension du récit, car il s'agit d'une histoire à part entière.

Pour info, il est disponible au prix de 3,99 € seulement en format Kindle, alors que son prix (neuf) s'élève à 14,50 € en livre broché et 8,10 € en format poche (toujours sur Amazon.fr).

Si vous regardez la série télé "The Walking Dead" et/ou lisez les Comics, vous allez adorer ce livre ; le dévorer comme un zombie vous sucerait la cervelle si vous lui serviez de goûter ! :P

Comme dans la série, le livre "La route de Woodbury" met en avant les vivants, leur façon de gérer certaines situations horribles, mais aussi plus banales, se déroulant en période trouble. Il faut que je vous précise tout de même que cette histoire est totalement inédite : elle n'a jamais été traitée, ni dans les Comics, ni dans la série télé !

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Cela fait peu de temps que les "bouffeurs" ont fait leur apparition et qu'ils sèment la terreur. 
Dans ce livre, nous faisons connaissance avec un groupe de survivants, qui va tout faire pour tenter de s'en sortir.

Parmi eux, on trouve Lilly, une jeune femme peureuse à l'extrême et angoissée de nature, ce qui est limite énervant au départ... mais elle est attachante et on notera une belle évolution de ce personnage tout au long du livre.

Lilly ne traîne jamais loin de Josh, plus âgé qu'elle, très grand, hyper baraqué... Un homme puissant, mais profondément gentil et droit. Elle ne sait pas ce qu'elle ressent pour lui. L'aime-t-elle ou cherche-t-elle uniquement sa protection en jouant avec ses sentiments ?
Pour Josh, en tous cas, pas de doute : il est sûr de ce qu'il éprouve pour la brunette. Il tuerait pour elle !

Dans le livre, il y a aussi un personnage qui fera "sourire", lors de son apparition, ceux d'entre vous qui regardent la série mais je ne dirai pas qui ! ;) Par contre, même si le parcours "professionnel" et le caractère de ce personnage est identique à celui de la série, il ne s'agit pas du même protagoniste, que ce soit physiquement ou même au niveau de son âge, ce qui peut être légèrement troublant. Mais je laisse au futur lecteur le soin de découvrir cela ! ;) Ce que je peux dire, c'est qu'il fait souvent mal au coeur...

Reste deux personnages que l'on suivra un petit peu plus que les autres : deux drogués, dont une nymphomane... donc peu intéressants d'après moi, mais bon... Heureusement, ce ne sont pas les protagonistes principaux, le plus important de ce roman étant Lilly.

L'ouvrage, édité en 2012 en format poche, est composé de deux parties pour 320 pages au total.

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La première partie narre la vie au campement (mais pas que ça!) d'un "grand" groupe de survivants mais c'est surtout Lilly que l'on suit.

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La seconde partie parle de la vie à Woodbury. Dans cette ville, on retrouve les personnages déjà rencontrés dans les Comics, comme Martinez ou le Gouverneur. On voit comment tout "fonctionne" dans cette communauté, qui est loin d'être idéale... et on se demande ce que des gens comme Josh et Lilly (entre autres) vont bien pouvoir faire là-dedans !

Ce roman est captivant ! Quand je le lisais le soir, dans mon lit, j'avais du mal à en décrocher ! Le style est fluide, simpliste et les descriptions ne sont ni trop courtes, ni trop longues. Je n'ai d'ailleurs pas remarqué la moindre longueur dans ce récit ! Je regrette seulement que le portrait dressé des zombies soient toujours un peu le même, c'est trop répétitif.

Bref, en lisant ce second tome, je ne me suis pas ennuyée une seule fois (je lirai d'ailleurs le premier bientôt!). Par contre, vu les scènes de violence et aussi de sexe (mais pas trop hard, heureusement!), je déconseille fortement la lecture à des enfants ou jeunes ados !

A noter que je lui trouve tout de même un gros défaut ! Ce que je déplore, ce sont les nombreuses coquilles que j'ai pu voir ici et là (par exemple, au lieu de "début", on peut lire "débit" et autres fautes d'inattention du genre, tout au long du récit) ! Mais l'histoire est tellement prenante que je ne retirerai même pas un point pour cela ! Je dois tout de même avouer que ce n'est pas le genre de bouquin que je relirais, car ça a juste été une lecture "divertissante" pour moi, entre deux lectures plus "profondes" nécessitant d'utiliser un minimum mon cervelet. Avec "La route de Woodbury", pas besoin d'être au top de sa forme intellectuelle pour tout comprendre, et c'est ce que j'ai aimé, pour le coup !

Je pense que le fait que Robert Kirkman, le créateur de The Walking Dead, ait collaboré à l'écriture de cet ouvrage est un grand "plus", car on y retrouve vraiment l'atmosphère des Comics, mais aussi de la série. 
Par contre, je ne connaissais pas du tout l'auteur : Jay Bonansinga, que je pensais être un jeune black... mais non, c'est un quinquagénaire blanc-bec ! :P Il écrit pourtant des thrillers, des récits fantastiques et autres romans depuis 1994 ! Si son parcours vous intéresse, sachez que Google est votre ami ! :P

Si vous êtes fan de l'univers de The Walking Dead (mais surtout du Comics, car on retrouve les personnages tels qu'ils sont dans celui-ci!), foncez ! Surtout si vous avez une liseuse, car son prix est franchement raisonnable sur ce support !

Personnellement, j'ai beaucoup aimé, même si la fin m'a un peu laissée sur ma faim ! Mais je lirai la suite au cours de cette année, vu que les tomes 3 et 4 sont déjà en vente et que j'ai acheté le troisième récemment ! ;)

Extrait :

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Ma note : 5/5

Mise à jour du 24 mars 2018 : le prix du format Kindle a augmenté... 

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10 février 2015

Le mec qui avait pondu un roman ennuyant comme un jour de pluie

Il y a des livres qu'on ne prend que parce que la couverture nous plait, parce qu'elle est belle ou étrange. 
Il y en a d'autres qu'on prend parce que le titre est marrant, bizarre....

Concernant "La petite fille qui avait avalé un nuage aussi grand que la tour Eiffel", je dois avouer que c'est le titre qui m'a attirée car je n'ai pas lu le synopsis avant de l'acquérir. Là encore, au moment où j'écris cet avis, je ne l'ai toujours pas lu. En le prenant, je me suis dit que ça pourrait être quelque chose d'original, de léger et de marrant... Disons que j'étais plus ou moins loin du compte !

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Ce livre, vous pouvez le trouver en ligne, sur Amazon.fr (par exemple) au prix de 19 € au format papier (broché) et à 9,49 € au format Kindle.
Il est sorti, dans ce dernier format, le 18 décembre 2014, et a été édité en format papier en janvier 2015.
L'éditeur est : Le Dilettante (oui, "le", pas "la").

Voilà pour ce qui est des petites informations de base. Entrons maintenant dans le vif du sujet...

°0° Un résumé à ma sauce °0°

(pas de recopiage, je préfère le préciser)

Ce livre parle de Providence, facteur habitant la capitale et ayant adopté une petite fille se trouvant au Maroc. C'est cette petite fille, qui "a avalé un nuage aussi gros que la tour Eiffel", et qui en meurt un peu plus chaque jour... Son mal, c'est la mucoviscidose. 
Le narrateur est un contrôleur aérien, racontant l'histoire de la factrice (qui préfère qu'on dise facteur, mais moi je préfère le contraire! :P) qui est pour le moins extraordinaire... Incroyable, même ! Providence, à cause de l'erruption d'un volcan ayant recraché un énormé nuage de fumée, ne peut pas se rendre au Maroc pour récupérer sa petite fille, fraîchement adoptée, car les avions sont cloués au sol.

Elle décide donc, après avoir fait le tour des solutions qui s'offraient à elle, d'apprendre à voler ! 
Oui oui, à voler dans le ciel, comme un oiseau...

(J'ai zappé délibérément certaines choses, pour ne pas spoiler!)

°0° Ce que j'en pense °0°

Je ne m'attendais pas à un bouquin parlant d'un sujet aussi grave... 
Une fois attaqué, je n'ai eu qu'une idée en tête : le finir au plus vite !! Je l'ai donc lu en quatre jours. J'ai été rapide, car j'avais hâte de continuer un autre livre, et parce que celui-ci ("La Petite Fille...") ne me plaisait pas tant que ça.

Après une citation de Boris Vian ("Cette histoire est entièrement vraie puisque je l'ai inventée d'un bout à l'autre"), et une autre de Providence, son personnage principal, l'auteur nous fait entrer dans quelque chose de léger, de drôle, de frais... Mais, après quelques pages, le récit devient de plus en plus ennuyeux à lire.

A savoir que le bouquin est découpé en quatre parties :

  • Première partie - Une factrice et sa conception bien particulière de la mayonnaise et de la vie
  • Deuxième partie - Lorsqu'ils ne prient pas, les moines tibétains écoutent Julio Iglesias
  • Troisième partie - Le jour où ma factrice devint aussi célèbre que la Joconde
  • Quatrième partie - Fin de la tournée à dos de dromadaire


Même si tout cela parait un peu loufoque et que c'est super attirant, je peux vous dire que j'ai vite déchanté !

Dans ce roman, l'auteur nous bassine avec des choses dont on se fout totalement et ne fait en gros qu'une chose : étaler sa science, tel un gros pédant. A le lire, j'avais l'impression que ce gars avait la science infuse, sérieusement ! 
Du coup, le texte m'a vite paru indigeste, lourd... chiant quoi ! 
L'histoire est belle, mais l'auteur en fait trop, beaucoup trop !

Je me suis ennuyée pendant plus de deux tiers du roman à cause de longueurs soporifiques et inintéressantes, d'un humour lourdingue et idiot (avec les jeux de mots qui vont avec!) et d'accumulations d'informations qui auraient pu être intéressantes... mais pas dans cet ouvrage !
Alors, oui, j'ai ri deux fois.... mais ce n'est pas énorme, sur 179 pages !
Alors oui, j'ai pleuré.... l'espace d'un petit paragraphe, parce que je me suis mise à la place du narrateur !

Et le reste du temps, je me suis ennuyée comme un rat mort.
Pour ce qui est de la fin, je n'ai même pas été surprise, je pense que j'étais un peu trop blasée... Je ne sais pas.
Honnêtement, si l'auteur n'avait pas tant voulu faire du remplissage, ce roman aurait été génial. Mais il en fait trop, presque tout le temps. Et quand il tient une "blague" qu'il croit drôle, il ne lâche pas facilement l'affaire... D'où le côté lourd et indigeste.

Je ne doute pas que ça pourrait plaire à quelques lectrices. Tous les goûts sont dans la nature !
Je pense même que les amatrices de "Chick-Lit" pourraient aimer.
Mais moi, j'ai vraiment eu du mal et je n'ai pas apprécié plus que cela.
En fait, si je retirais tous les passages qui m'ont saoûlés, il ne resterait qu'une trentaine de pages, et encore, je suis gentille !!

Avant de lire ce bouquin, je ne connaissais pas du tout Romain Puértolas, même pas de nom... et je pense que je ne vais rien lire d'autre qu'il ait écrit car, même si son style narratif est simple, compréhensible par tous, et qu'il pourrait être agréable sous certaines conditions, j'ai bien peur d'être encore assommée par de nombreux passages barbants.

°0° Conclusion °0°

"La Petite Fille qui avait avalé un Nuage...." est marrant au début, toujours farfelu mais lourdingue avec des jeux de mots vraiment nullissimes. Le récit est, au fur et à mesure de la lecture, de plus en plus inintéressant à cause de l'étalage du savoir (sans doute aussi superficiel que son bouquin) de l'auteur. Ce dernier transpire la prétention, il transparait comme étant quelqu'un de pédant, et j'ai beaucoup de mal avec ça.

Bref, si vous voulez lire un bon bouquin, je vous conseille "Le Lys et les ombres", sur lequel j'ai déjà écrit un avis, mais pas celui-ci ! Sauf si vous êtes adepte du genre "farfelu ET lourdingue".
Pour info, un des deux passages qui m'a fait rire, c'est une description de ce qui nous sert de président actuellement... c'est presque tordant ! Je dis bien "presque" !

°0° Extrait (pour celles et ceux que ça intéresse) °0°

"Elle avait le temps. Le temps d'apprendre et de connaître le monde. Sa soif de lire et de connaissance était immense. Elle absorbait tout comme une éponge dans la mer. En quelques jours, elle avait déjà avalé l'équivalent d'une bibliothèque de quartier. En quelques semaines, elle avait avalé la Bibliothèque Nationale de France et la Sorbonne. Après avoir passé des années à manger des nuages grands comme la tour Eiffel, voilà qu'elle se mettait à dévorer des bibliothèques entières, étagère par étagère, boulon après boulon. [...] La petite fille apprit ainsi que les écureuils de Central Park étaient tristes le lundi. Savaient-ils que le lundi était, statistiquement, celui où on avait une attaque cardiaque ? Elle apprit d'ailleurs que le mot français "écureuil" venait des mots "ombre" et "queue" en grec ancien. Qu'un chameau pouvait boire cente trente-cinq litres en dix minutes. Que le neuvième président des Etats-Unis était un certain William Henry Harrison, dont le mandat, le plus bref de l'histoire du pays, n'avait duré que trente jours, douze heures et trente minutes. Que la scène dans laquelle Indiana Jones tuait d'un coup de pistolet le méchant qui essayait de l'impressionner avec sa démonstration de sabre n'était pas prévue à l'origine et qu'Harrison Ford l'avait improvisée car il souffait de la tourista et qu'il voulait boucler le tournage le plus vite possible ce jour-là. Que le concierge de luxe international John Paul pouvait livrer, dans l'heure, un élephant sur un yacht privée en plein océan pour satisfaire un caprice de milliardaire. Que les albums de Tintins ne contenait pas plus de soixante-deux pages, et que de tous, Tintin au Tibet était le seul dans lequel on pouvait voir le héros pleurer."

[C'est long, hein ? Et sachez que ça continue sur trois pages (d'après ma Kindle)!!!! C'est d'un ennui !!! Et c'est un peu trop souvent comme ça, dans ce livre...]

Note : 2/5

27 janvier 2015

500 questions... que se pose Laurent Baffie !

Après avoir lu un bouquin de 656 pages ("Le Lys et les ombres", sur lequel je suis en train d'écrire un avis.) parlant de l'Histoire de France et de Jeanne d'Arc, j'avais envie d'un livre "de transition".
Je vous explique ce que j'entends par là : je voulais me vider un peu la tête pour pouvoir attaquer un autre ouvrage parlant également d'un sujet sérieux... En trainant sur Amazon.fr, j'ai vu que le dernier livre de Laurent Baffie était en vente au format kindle. J'ai dit "Bingo" ! :P

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"500 questions que personne ne se pose" est sorti en septembre 2014 et est vendu au prix de 15,90 € au format papier (broché). J'ai trouvé que c'était un peu cher, c'est pourquoi, après avoir fait un tour sur le site de l'éditeur (Kéro) et avoir feuilleté quelques pages proposées à la lecture gracieusement, je me suis décidée à le prendre au format Kindle, pour le lire sur ma liseuse. Pour le coup, il m'a coûté presque 6 euros de moins, c'est-à-dire 9,99 € !
Après une petite dédicace de l'humoriste, une préface composée de 10 questions nous met dans le bain... Puis s'enchaînent les autres interrogations de Baffie.

Dans ce bouquin, tout le monde en prend pour son grade et ça part dans tous les sens ! 
Une question correspond à une "blague" (dont certaines du niveau Carambar).

Avec Baffie, rien d'étonnant, c'est gras (=cru, dégueulasse), c'est noir, c'est misogyne, c'est parfois concon... et seuls les adeptes du second (voir troisième) degré et étant un peu sur la même longueur d'ondes que lui, pourront vraiment profiter au mieux de l'ouvrage, qui regorge de conneries plus folles les unes que les autres.

De nombreux calembours sont présents, et je dois avouer que j'en n'ai pas compris un et que c'est mon Homme qui m'a éclairée. Je vous la mets, et vous verrez que, celle-ci, elle fait partie de celles du niveau "Carambar" :
"Akhenaton avait-il souvent envie de Néfertiti?"... Je n'avais pas capté le jeu de mot pourri, qui était pourtant flagrant pour mon Chéri : "Néfertiti" = "faire pipi"... Mouais... Heureusement, elles sont loin d'être toutes comme ça !

Y'en a tellement de marrantes que j'ai surlignées pour les partager avec vous, que je me retrouve un peu dans l'embarras, ne sachant lesquelles choisir... Car vous vous doutez que je ne peux pas vous recopier la moitié du bouquin, hein ?
Donc, je me suis dit que j'allais tourner les pages en fermant les yeux et que je vous mettrais la question sur laquelle je tombais... Du coup, je suis me suis retrouvée avec une question hyper salace... et pas question que je la balance sur mon blog, vu que des gosses peuvent tomber dessus ! Alors j'ai recommencé... et là, c'était une question "caca/prout"... Je ne pouvais pas la mettre en ligne, sachant que ceux qui me connaissent bien allaient me charrier... Alors j'ai recommencé... et je me suis dit que non, ça ne plairait pas aux juifs et aux musulmans.... Alors j'ai recommencé... et là, je n'avais pas envie de faire de la peine aux nains... Alors, j'ai laissé tomber ! Et c'est là que j'ai enfin trouvé celle qui ne pourrait blesser personne, mais qui glisserait, en même temps, un petit message à peine caché à mes voisins des maisons alentours (qui me cassent souvent les oreilles avec leur musique de merde!) :

"Pourquoi c'est toujours les voisins les plus cons qui viennent s'installer le plus près de chez nous ?"

Donc, vous l'aurez compris, ce livre n'est pas à mettre entre toutes les mains ! Les extrémistes, qu'ils soient juifs, islamistes ou autres illuminés du cierge, auront intérêt à s'abstenir ! Sinon, après avoir vu des Charlie Hebdo crâmés par des incultes qui ne savent pas ce que signifie le mot "humour" (et pour qui la Laïcité est une ignominie, ceci dit en passant), on pourrait avoir droit aux mêmes scènes mais avec le livre de Baffie ! 

J'ai beaucoup apprécié ce bouquin, qui est crade, cru, politiquement incorrect, irrévérencieux... La lecture peut être achevée en moins d'une heure, mais moi, j'ai préféré le lire sur trois soirées, même si j'avais parfois du mal à m'arrêter tellement je m'éclatais. 
Impossible pour moi de lire sans rire (aux éclats parfois !) et de laisser mon Homme dormir ! Je lui faisais profiter de la connerie (ne voyez rien de péjoratif là-dedans!) de Baffie !

Du coup, je suis partagée au niveau de la note... Je ne peux pas lui mettre 5/5 mais...
Depuis le 7 janvier, j'avais du mal à rire, et ce bouquin m'a aidée à m'y remettre. Et ça, c'est vraiment une chose dont j'avais besoin ! Même si ces questions sont folles, elles sont tout de même très pertinentes ! :P Mais Baffie va loin, il repousse certaines limites... et c'est ce que j'aime chez lui, je ne vais pas dire le contraire.
Alors, pourquoi ne puis-je pas mettre la note maximale ?
Eh bien, je trouve le prix un peu excessif pour ce qu'il renferme !
Je pense que 5 ou 6 euros auraient été plus appropriés, car le contenu n'est pas immense. MAIS, j'ai ri, énormément ri...
Ce bouquin m'a fait un bien fou !

Donc, je ne retire qu'un petit demi-point pour le défaut que je lui trouve. 

Note : 4,5/5

27 janvier 2015

Mon plus gros coup de coeur littéraire !

Ces derniers temps, j'ai lu un pavé. 
Mais attention, n'y voyez là rien de péjoratif !
J'ai lu "Le Lys et les ombres", un livre de Bernard Simonay, que je me suis procurée sur Amazon.fr, au format Kindle.
Il m'a coûté 15,99 euros, alors qu'au format papier, broché, son prix s'élève à 22,90 € pour 656 pages !

Pour ce qui est des informations complémentaires, les voici de suite (comme ça, c'est fait ! :D ) :
Le livre est sorti en avril 2011 et est édité chez Calmann-Lévy.

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Pourquoi ai-je voulu cet ouvrage ?

Eh bien je voulais lire un bouquin qui ne parle pas que de la légende de ce personnage historique élevé au rend de Sainte... Je souhaitais lire un bouquin qui m'offre une vision plus rationnelle et logique (donc autre que celle qu'on nous fait gober depuis notre plus tendre enfance) de la vie de Jeanne d'Arc...

"Le Lys et les ombres" est un roman sur fond historique : la vie de Jeanne d'Arc y est narrée, de façon très intéressante par le romancier. 
Grâce à ce-dernier, on peut découvrir une histoire bien plus crédible et moins mystique de celle qui est considérée par tant de gens comme étant une sainte vierge ayant entendu la voix des anges et s'étant vue confier une mission divine.

J'avais personnellement lu quelques articles et d'autres livres sur elle, et j'en avais conclu certaines choses (que ce n'était pas une bouseuse, qu'elle avait un lien "direct" avec la monarchie ou la grande noblesse de France, qu'elle n'était pas morte sur le bûcher...). J'ai été ravie de pouvoir les lire dans ce livre, car ça m'a confortée dans mes réflexions sur le sujet.

Le Lys et les ombres... "Qui était vraiment Jeanne d'Arc ?"

Même si le roman débute (après un prologue) par l'exécution sur le bûcher d'une femme, que l'on ne pas peut identifier, car ayant le visage caché, mais présentée comme étant "la Pucelle" de Lorraine, l'auteur nous raconte ensuite toute la vie de la jeune fille. Il narre son histoire comme il pense que cela s'est déroulé en s'appuyant sur des faits s'étant réellement déroulés.

Simonay a découpé son roman en 4 grandes parties. 

Dans la première, il parle de la petite enfance de Jeanne, du contexte politique de l'époque, des insanités que la population subit de la part de soldats et de mercenaires... N'oublions pas que nous sommes en pleine Guerre de Cent Ans et que le pays est déchiré de toutes parts.

Il dépeint "Jeannette" comme une enfant garçon-manqué, aimant se battre avec les gamins des villages alentours, mais aussi comme une fine stratège, intelligente, ayant une capacité d'adaptation et d'apprentissage assez exceptionnelle... Bien sûr, il fait aussi part du fait qu'elle est très attachée à la religion (la petite prie sans arrêt).

Il nous dit également quel était le réel statut social de la famille d'Arc et dans quelles conditions elle vivait. Evidemment, Jeanne, malgré le fait qu'elle ait pu effectivement aider son père à garder son troupeau de bestioles quelques peu nombreuses fois, était nullement une petite bergère naïve et rêveuse. Et je n'ai pas attendu de lire ce bouquin pour l'apprendre !

Le romancier trouve une explication aux "voix" et à quelques autres petites choses... et cela me parait tout à fait plausible.
Je ne vais pas en dire trop sur la suite, pour ne pas vous gâcher la lecture, si vous souhaitez vous procurer le livre, mais je vais tout de même vous parler rapidement des autres parties.

Dans la seconde partie, il est question de l'apprentissage de Jeanne. Mais par n'importe lequel : dès ses 13 ans, on lui apprend à manier les armes et à monter à cheval ! Il s'agit de "l'éducation guerrière". 
L'auteur continue de nous faire vivre le quotidien de Jeanne mais aussi, en parallèle, les soucis que rencontre encore et toujours le royaume de France (et surtout la royauté!).

Dans la troisième partie, "Les chevauchées de la Pucelle", on entre enfin dans le vif du sujet... Jeanne est quasiment adulte et veut aider le Roi (qui serait plus que cela pour elle, si on en croit certains indices, et d'après certains faits troublants) à reconquérir son trône.
Cette partie se termine sur l'emprisonnement et l'abandon de notre héroïne...

La quatrième partie, intitulée "Jeanne des Armoises", relève d'autres faits bien plus déconcertants pour ceux qui n'auraient jamais effectué de recherches sur Jeanne. Malgré un passage romancé, il est possible d'y découvrir quelques petites choses qui ne pourront que piquer la curiosité des lecteurs. Jeanne ne serait pas morte sur le bûcher (chose dont je suis persuadée) et aurait continué à effectuer des missions militaires... Et elle aurait également eu une vie de femme (ce que je veux dire par là ? héhé, lisez le livre et vous saurez ! :P)...

Epilogue et notes en tous genres

Le roman s'achève donc... mais pas le livre !

En effet, on peut y trouver un épilogue ayant pour sujet le procès de réhabilitation, qui fut une mascarade ayant un but précis (je ne dirai pas lequel, il vous faudra lire le livre! Oui, je sais, je me répète!)..

Ensuite, une liste des personnages importants est dressée, suivie de la généalogie des Rois de France durant la Guerre de Cent Ans, et des origines de cette dernière.

Etant une vraie brêle à ce sujet, j'ai été ravie de pouvoir me cultiver un peu plus grâce à cela. Du coup, je ne dirais pas que la Guerre de Cent Ans n'a plus de secrets pour moi, mais que je suis quand même un peu mieux instruite à ce sujet.

Pour finir, on y trouve une centaine de pages de notes.
J'ai adoré les lire, au fur et à mesure de ma lecture du roman.

Au début de celles-ci, l'auteur nous dit sur quels autres ouvrages il s'est appuyé pour écrire son bouquin, et il cite également ceux qu'il a consulté alors qu'il n'était pas d'accord avec eux... Très instructif ! D'ailleurs, j'ai déjà noté de m'acheter (ou de me faire offrir! lol) deux autres livres parlant de Jeanne. :)

Suite à cette énumération, on trouve donc les notes vers lesquelles des passages du livre nous renvoient. Dans ces notes, l'auteur relève certains points, comme l'âge de Jeanne, qui fait l'objet d'une argumentation des plus pertinentes, prouvant que l'auteur s'est assez bien renseigné, et qu'il a donc fait un assez bon travail de documentation.

Il explique également pourquoi il décide d'accréditer certains faits plutôt que d'autres et pointe du doigt les passages dans lesquels il ne s'agit que de fiction. D'ailleurs, il insiste bien sur le fait que son livre est un roman, non un livre d'histoire. Il se décrit comme romancier, surtout pas historien et ajoute même qu'il ne prétend pas savoir la vérité... mais qu'il se base sur des faits réels et brode autour, en écrivant des choses qui lui paraissent logiques.

Mes impressions

Je dois avouer que j'ai été quelque peu triste d'avoir terminé ce roman. Je l'ai tellement aimé !
Cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi emballée par une lecture !! Il s'agit là de mon plus grand coup de coeur depuis... pas mal d'années !

Et pourtant !! je peux vous dire que ce n'était pas gagné, au début. 
En effet, même si j'ai beaucoup aimé cette façon que l'auteur a de faire parler et penser "Jeannette" (il nous fait rentrer dans la tête de nombreux personnages, mais surtout dans celle de Jeanne, ce que j'ai trouvé divin - sans mauvais jeu de mots-!), j'ai relevé un défaut.

Ce petit hic du livre est qu'il est autant, si ce n'est plus, centré sur l'histoire de France et les problèmes du royaume de l'époque. Et ça, au début, j'ai eu du mal à m'y faire. Mais, plus je lisais, plus ça me passionnait ! Donc cet inconvénient n'en était plus un au bout de quelques pages.

Autre point à souligner : il y a beaucoup de personnages, parfois au nom assez complexe, et il m'a été parfois difficile de les retenir et de comprendre certains passages, qui ont nécessité une seconde lecture. Alors, pour m'accoutumer à la chose, j'ai trouvé une technique qui me convient parfaitement : je recherchais des infos (les biographies) sur les gens en question, ce qui me permettait de mieux les "remettre" lorsque je les recroisais dans le bouquin un peu plus tard. Et puis, ça m'a permis d'en apprendre encore plus sur ce qu'était la France au XVème siècle (un sacré bordel, pour résumer!).

En tout cas, grâce à Simonay, j'en sais maintenant un max sur toutes les intrigues, les coups montés, les trahisons de l'époque (je parle des faits véridiques, pas des parties romancées, hein!)... et je me suis rendue également compte que Charles VII, le roi que Jeanne a aidé à reprendre la place qui lui était due, était une sacrée merde ! Lâche, menteur, hypocrite, opportuniste...

Je pense tout de même que, malgré le fait que le livre soit bien écrit, dans un français correct et assez soutenu parfois, certaines longueurs risquent de lasser quelques uns des lecteurs. 
J'avoue qu'à deux moments, je me suis demandée si je n'allais pas sauter quelques pages... mais je n'en ai rien fait, de peur de passer au-dessus d'un élément important. Et heureusement ! Car, d'après moi, il était nécessaire de connaître tous les détails exposés dans l'ouvrage.

Un livre que je recommande fortement à tous les férus d'histoire ! ;)

Note : 5/5

17 septembre 2014

Un livre brouillon et soporifique

Voilà maintenant un moment que j'ai terminé ce livre de David Foenkinos et je ne vous en parle que maintenant car il m'a fallu un peu de temps pour voir si mon avis allait changer avec le temps. 
Bah oui, parce que, parfois, je lis un bouquin ou regarde un film, le trouve nul sur le coup mais, après réflexion, je me dis qu'il n'était pas si mal que ça... Eh bien ce n'est pas arrivé avec ce truc qu'a écrit cet auteur, que je ne connaissais pas auparavant, je dois l'avouer.

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Le livre dont je vais vous parler, c'est "Charlotte".
Directement, en lisant le résumé, on sait que ça parle d'une nana juive qui a fini gazée en camp de concentration, à 26 ans... On sait donc comment ça finit dès le début, ce qui veut dire qu'il n'y a aucun suspens ni aucune surprise à attendre durant la lecture.

Selon ma belle Kindle, "Charlotte" se compose de 203 pages que l'auteur a découpé en huit parties, toutes consacrées à la vie de Charlotte Salomon, d'avant sa naissance à sa mort et même au-delà, vu qu'il parle également de ce qu'elle a laissé après sa mort : "Leben ? Oder Theater ?" ("Vie? Ou Theâtre ?"), des gouaches monstrueuses (tous les goûts sont dans la nature, mais bon... Moi, je trouve ça horriblement moche!) que Foenkinos veut faire passer pour des oeuvres égalant quasiment celles de Picasso ! Il ne fait pas directement la comparaison, mais c'est ce que j'ai ressenti en lisant ses "éloges" !

Le mec n'en peut plus avec cette nana qu'il adule pour je ne sais quelle raison ! Lui-même le dit : elle l'obsède... Cela m'a fait doucement rire, je dois l'avouer ! Je ne sais pas ce qu'il a voulu faire en rédigeant ce truc, tenter de faire de l'ombre à Anne Frank et à son journal ? Peut-être... mais je pense qu'il est très loin de pouvoir y parvenir !

En tout cas, j'ai trouvé ce livre extrêmement long, malgré qu'il soit hyper rapide à lire (vous saurez pourquoi un peu plus bas), et d'un ennui mortel! Oh, je ne doute pas qu'il puisse plaire hein, mais pas à moi, ça c'est clair ! ça me fait même un peu tiquer d'avoir claqué des bons cadeaux pour me le procurer (je l'ai eu en format Kindle pour 12,99 €, sur Amazon.fr.)

La vie de cette Charlotte est comme celle de nombreuses personnes (pas seulement juives) durant la guerre et je ne vois pas en quoi cela mérite qu'on lui consacre un livre car, comme je l'ai dit plus haut, ce qu'elle a fait de son vivant était sans grand intérêt. Et je pense que si elle avait été aussi douée que l'écrit Foenkinos, elle serait exposée bien plus souvent au musée juif d'Amsterdam (ou ailleurs!), où les originaux de ses gribouillis se trouvent... dans les sous-sols, la majeure partie du temps ! Et puis, je pense que j'en aurais également entendu parler durant les cinq années où j'ai suivi des cours d'Histoire de l'Art (à noter qu'elle n'est même pas mentionnée dans la vingtaine de livres d'Art que j'ai à mon domicile!).

Maintenant que je vous ai dit ce que je pensais du "sujet" de ce bouquin, je vais vous parler de ce que Foenkinos a commis... Une horreur littéraire comme j'en ai rarement lue ! Oui, je sais, je ne mâche pas mes mots, mais bon, c'est mon avis à moi, hein !?

A chaque fin de phrase, il va à la ligne.
Alors que le style devrait être aérien, léger, il est tout le contraire de part le texte de l'auteur. Voilà pourquoi j'ai trouvé la lecture longue et ennuyeuse, malgré la taille du texte ! C'était trop saccadé à mon goût.
Son excuse, qu'il balance dans le livre, la voici : il ne savait pas comment rédiger ce bouquin, car il avait l'impression d'être "oppressé"... et il a décidé de le faire de cette manière, trouvant que ça l'aiderait à ne plus l'être, lui permettant de "respirer"... 
Mouais... 
Bah moi, j'aime pas !
Mais bon, ça a ses avantages... 
Pour lui...
Parce que oui, aller à la ligne à chaque fin de phrase...
Comment vous dire ?
Eh bien ça remplit bien !
ça allonge le texte.
Ce dernier parait long...
Même si ce n'est pas le cas !
Vous ne trouvez pas ?
Moi si !
Et puis, faut l'avouer, c'est pas esthétique !
Surtout que ce n'est pas de la poésie.
Loin de là !
Monsieur Foenkinos, vous n'êtes pas Prévert !!
Alors vous, lecteurs, imaginez devoir supporter cela durant plus de 220 pages (dans la version papier) !
C'est lassant.
Tellement que ça en a été soporifique, pour moi !
Bon point du bouquin : avec lui, je m'endors vite et bien !

Donc, c'est ce qui me gonfle le plus, cette mise en forme !
Encore plus que le fait qu'il fasse passer une nana dérangée psychologiquement, d'après ce que j'ai pu comprendre, pour un génie ayant un don rare pour l'Art, ce qui n'est décidément pas le cas ! Mon ancienne prof d'Histoire de l'Art ET d'Arts Plastiques (la plus teigneuse) se retournerait dans sa tombe, si elle lisait ce bouquin... et si elle était morte, évidemment ! :P Monique, si vous passez par là... ;D

A mon avis, Foenkinos devrait consulter un bon psychiatre pour tenter d'analyser et de résoudre ses petits soucis... Limite, il me donne l'impression d'être carrément amoureux de cette fille morte depuis des décennies ! o_O

Une autre chose m'a perturbée durant la lecture : souvent, Foenkinos parle d'un truc se déroulant dans les années 30 (ou 40, selon la partie du livre) et PAF, il parle du présent et HOP, il parle de lui, de ses recherches, de son ressenti... Un grand n'importe quoi, parfois sans transitions réellement pertinentes, qui contribue largement au fait que je n'aime pas ce que j'appelle un "brouillon de livre".

Pour résumer, je dirais que je n'aime pas ce bouquin, mais ça, vous l'avez compris en lisant mon avis ! 
Je ne l'ai pas trouvé intéressant, pourtant j'aime les biographies mais là, c'est une histoire romancée, arrangée à la sauce de l'auteur, qui semble obnubilé par cette Charlotte Salomon, et qui n'est donc pas objectif du tout.

Le fait qu'elle soit juive en Allemagne lors de la montée du Nazisme, puis lors de la prise de pouvoir d'Hitler, le fait qu'on lui ai mit des bâtons dans les roues à cause de cela, ce n'est pas ce qui aurait dû être le point de mire du livre. C'est du vu et revu...

Les antécédents familiaux de Charlotte Salomon auraient été plus intéressants à développer, à mon sens. Famille dans laquelle les membres sont plus enclin au suicide qu'à autre chose. C'est LA réelle particularité de cette fille et ses ascendants, mais ça ne passe qu'au second, voir au troisième plan, alors que c'est la seule caractéristique que je trouve hors du commun, voire passionnante, chez elle.

Si vous n'êtes pas difficile niveau syntaxe, mise en page, récit... vous pouvez vous lancer et lire "Charlotte", mais si vous êtes comme moi, une grosse chieuse hyper difficile n'aimant pas les écrits bizarres et brouillons, passez votre chemin ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point j'ai été contente lorsque j'en suis venue à bout !!

Ma note : 1,25/5 (pour pas être méchante)

10 septembre 2014

Un oeuf de dragon dans un nid de vipères

Après leurs aventures ayant été narrées dans "Le Chevalier Errant" et "L'Épée Lige", Dunk, le chevalier errant, et L'Oeuf, son écuyer très spécial, se retrouvent embrigadés dans un étrange tournoi organisé pour des noces. 

Le vainqueur de ce tournoi se verra remettre un oeuf de dragon (d'où le titre du livre)... Mais l'oeuf disparait, et les seigneurs, chevaliers et autres personnages évoluant autour de Dunk et l'Oeuf montrent peu à peu leur vrai visage.

Voilà pour le petit résumé que je peux faire du livre de George R.R. Martin, également auteur du "Trône de Fer" !

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Alors que les deux premières nouvelles m'avaient plu à 60, voire 65%, j'ai tout de même voulu lire ce livre, et ce pour trois raisons :

• La première, c'est que j'ai pu le découvrir gratuitement, vu qu'on me l'a donné ! A noter qu'il est vendu 11,99 € sur Amazon.fr, au format Kindle.

• La seconde, c'est que je voulais suivre de nouvelles aventures de Dunk et L'Oeuf, car j'aime bien ces deux personnages.

• La troisième, c'est que j'espérais en apprendre encore plus sur la famille royale (les Targaryen).

Ce que j'ai pensé de tout cela...

Eh bien je vais être brève !
Ce livre est long de 134 pages, d'après ma belle Kindle... et je peux vous dire sans exagérer que je me suis ennuyée à un point pas possible pendant les 88 premières pages, puis ça a bougé, ça m'a passionné, ça m'a accroché... 
Mais punaise, il m'a fallu me taper 88 pages de longueurs, d'un récit sans grand intérêt pour moi ! Ok, je sais, il faut présenter les personnages, mettre en place l'intrigue... mais quand même, y'a des limites !!

Pire que pour les deux premières nouvelles donc ! Mais une histoire des plus intéressantes... vers la fin du bouquin !
En effet, j'ai appris plus de choses sur les Targaryen (la famille royale, si vous suivez bien!) et surtout le "bâtard" (et ses descendants) d'un des rois. Ces personnages font naîtreune intrigue des plus palpitantes. Dommage que l'auteur, ne s'applique pas mieux pour faire de ce petit roman quelque chose de bien du début à la fin ! 
Pour moi, seuls 30 petits pour cent du récit sont potables.

J'ai tout de même constaté une nette amélioration au niveau de l'écriture (sans doute est-ce la traduction qui est mieux faite?!) : j'ai trouvé que la lecture était beaucoup moins indigeste, et donc bien plus fluide, que dans "Le Chevalier Errant" et "L'Épée Lige".
De plus, même si les personnages demeurent nombreux, il ne m'a pas été nécessaire de lire la liste (une présentation) de ceux-ci se trouvant en tout début de livre, pour m'y retrouver !

Et, je dois vous l'avouer, je n'ai même pas lu la "présentation de l'éditeur" présente sur la première page, avant de m'attaquer à "L'Oeuf de Dragon"... Pourquoi faire ? Pour me gâcher la lecture du livre, qui n'était déjà pas terrible ? Car, l'ayant lue après avoir terminé le bouquin, je peux vous dire que j'avais bien fait, car cela aurait tout fichu en l'air : à mes yeux, il s'agit d'un résumé révélant trop d'informations sur le récit !

Pour finir...

Autant dire que je ne vous conseille nullement l'achat de ce bouquin, que ce soit en format papier, broché (vu qu'il coûte 15,90 €!!), et encore moins au format Kindle ! Car même si ce dernier format coûte moins cher , c'est tout de même trop pour ce que c'est ! 
Mieux vaut patienter pour prendre la version poche, qui sera peut-être vendue dans les 6 euros, si vous voulez absolument vous procurer "L'Oeuf de Dragon" !

Ma note : 2,5/5

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